Quand on aime, on ne compte pas et quand on a du temps à tuer, on... ne compte pas non plus. C'est de ce constat irrévoquable que découlent les quelques zillllllustrations précédentes, ou le souvenir d'un dimanche passionnant, rythmé de moultes passionnantes promenades et de passionnantes découvertes. J'en fait trop? ok, en fait, je me suis grave fait chier... malgré la super fête à Schopfheim (mais c'était la folie-du-bourg avec la zimboumboum bien de chez nous (du hast so schöne Augen du kleines Määäädchen, du sooolltest nicht weiiiinen, tain je m'enflamme ah non mais je dansais moi avec ces nôôôlies paroles (passionnantes vous avez dit?))) Alors lorsqu'on ne sait que faire, que fait on ? On s'amuse à prendre des photos en roulant à vélo biensûr, tout le monde avait deviné. C'est ainsi, en narguant les lois de la gravité et en prenant des risques inconsidérés, que naissent les clichés où apparaissent une ombre étrange (non non je n'ai pas muté, je suis un enfant de tschernobyl mais quand même)
dimanche 28 septembre 2008
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