Steven Spielberg n'a qu'à bien se tenir, Indi est de retour et ça va faire mal. Il n'est pas mort notre Indi, bien au contraire, ravivé par la flamme de noël, il a soif : soif, non pas de vengeance, non pas de découvertes, non, il a juste soif... il lui fallait donc du liquide à Indi, mais pas n'importe lequel! Le nectar de noël, le réconfort de l'hiver, j'ai nommé le Glühwein (vin chaud).
En ce week-end précédant Noël, Indi, le plus grand archéologue de tous les temps, a donc quitté sa chère province pour rejoindre son ami, petit archéoblog des temps modernes. Organisation des plus tardives, à l'arrache comme on dit, mise au point des plus chaotiques, appréciation des plus floues... mais comment nos deux aventuriers allaient-ils surmonter les péripéties d'un tel week-end?
La suite dévoile les clés de cette épique épopée...
En ce week-end précédant Noël, Indi, le plus grand archéologue de tous les temps, a donc quitté sa chère province pour rejoindre son ami, petit archéoblog des temps modernes. Organisation des plus tardives, à l'arrache comme on dit, mise au point des plus chaotiques, appréciation des plus floues... mais comment nos deux aventuriers allaient-ils surmonter les péripéties d'un tel week-end?
La suite dévoile les clés de cette épique épopée...
A peine arrivé en terre suisse, Indi et son compagnon en profitèrent pour visiter pour l'un, revisiter pour l'autre, la ville de Bâle. Ils devaient dès lors faire face aux assauts des indigènes hostiles (des blondes qui parlent un allemand, que même les allemands ne comprennent pas... cherchez l'erreur). Sortis de cette contrée sans trop d'accros, il repartirent pour de plus accueillantes terres.
Plus tard, la soif étanchée, l'estomac bien rempli et l'ivresse le guettant (bon ok, l'ivresse ne faisait pas que guetter, on l'a invité, l'ivresse, à boire une bière aussi...) il s'endormit, rêvant à ces prochaines aventures et ressentant au plus profond de lui, la chaleur de la terre allemande (en fait, il a surtout bien senti la dureté de mon parquet lol).
Au petit matin, le réveil fut dur, très dur. Indi a beau être grand, fort et barbu, l'alcool, qui a coulé a flot, a eu raison de lui, d'où le réveil difficile.
Mais pas de temps à perdre, Karlsruhe attendait Indi et son alcoolyte... enfin son accolyte. Pendant le voyage, Indi jouait de son sex appeal pour attirer l'autochtonE, hélas, ses efforts furent vin... euh vain : s'attendant à trouver une montagne de beauté, il tomba sur une montagne... tout court...
Arrivés dans cette jungle karlsruhesque, nos deux protagonistes partirent à la chasse à la gazelle. Ils devaient cependant aussi se nourrir, pour cela, ils pouvaient compter sur ce que la Nature laissait sur leur chemin : Bratwurst et vin chaud se trouvaient en abondance. Malgré un temps relativement déplorable, le voyage fut un succès, non pas au niveau de la chasse (Indi ayant oublié son fouet, quel boulet cet Indi), mais de la découverte d'une autre culture.
Le dernier jour fut une formalité pour nos aventuriers. Le brouillard épais ne les a pas refroidis et ils partirent ainsi à la conquête de Schopfheim, capitale en lettre minuscule. Ils en profitèrent pour refaire une partie de chasse, mais cette fois, du yéti germain et du dahut suisse. Session couronnée de... d'échec...
Mais diable qu'Indi était heureux! Oui, Indi était aux anges! Et la soirée, au doux parfum d'anis, allait mettre Indi et son hôte dans un état second, état qu'ils n'ont presque pas quitté du week-end... les enfants, n'imitez pas Indi, un des plus grands héros de notre époque! Le lendemain, tristesse et mélancolie allaient accompagner Indi et Chef, ou Julien et Matthieu, sur le chemin du retour :
Chouette, c'est les vacances en France,
mais l'Allemagne c'est loin d'être le bagne!
Ainsi s'achève ce récit.
Mon bon Indi, "j'suis content qu'tu sois venu!!" ;-)
Plus tard, la soif étanchée, l'estomac bien rempli et l'ivresse le guettant (bon ok, l'ivresse ne faisait pas que guetter, on l'a invité, l'ivresse, à boire une bière aussi...) il s'endormit, rêvant à ces prochaines aventures et ressentant au plus profond de lui, la chaleur de la terre allemande (en fait, il a surtout bien senti la dureté de mon parquet lol).
Au petit matin, le réveil fut dur, très dur. Indi a beau être grand, fort et barbu, l'alcool, qui a coulé a flot, a eu raison de lui, d'où le réveil difficile.
Mais pas de temps à perdre, Karlsruhe attendait Indi et son alcoolyte... enfin son accolyte. Pendant le voyage, Indi jouait de son sex appeal pour attirer l'autochtonE, hélas, ses efforts furent vin... euh vain : s'attendant à trouver une montagne de beauté, il tomba sur une montagne... tout court...
Arrivés dans cette jungle karlsruhesque, nos deux protagonistes partirent à la chasse à la gazelle. Ils devaient cependant aussi se nourrir, pour cela, ils pouvaient compter sur ce que la Nature laissait sur leur chemin : Bratwurst et vin chaud se trouvaient en abondance. Malgré un temps relativement déplorable, le voyage fut un succès, non pas au niveau de la chasse (Indi ayant oublié son fouet, quel boulet cet Indi), mais de la découverte d'une autre culture.
Le dernier jour fut une formalité pour nos aventuriers. Le brouillard épais ne les a pas refroidis et ils partirent ainsi à la conquête de Schopfheim, capitale en lettre minuscule. Ils en profitèrent pour refaire une partie de chasse, mais cette fois, du yéti germain et du dahut suisse. Session couronnée de... d'échec...
Mais diable qu'Indi était heureux! Oui, Indi était aux anges! Et la soirée, au doux parfum d'anis, allait mettre Indi et son hôte dans un état second, état qu'ils n'ont presque pas quitté du week-end... les enfants, n'imitez pas Indi, un des plus grands héros de notre époque! Le lendemain, tristesse et mélancolie allaient accompagner Indi et Chef, ou Julien et Matthieu, sur le chemin du retour :
Chouette, c'est les vacances en France,
mais l'Allemagne c'est loin d'être le bagne!
Ainsi s'achève ce récit.
Mon bon Indi, "j'suis content qu'tu sois venu!!" ;-)
Indi est tombé dans le panneau
Trop de liquide, ce week-end...
Karlsruhe et son marché de noël
Indi a l'air heureux...
Du pastis à l'allemande : Ricard + eau gazeusele tout dans des bottes à Glühwein...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire