Il s'agit maintenant d'envoyer du gros et montrer ce qu'on a dans le ventre. L'objectif des 300 km parait bien compromis mais on va tout faire pour aller jusqu'au bout et garder notre avance en tête.
Le temps est toujours aussi bon mais Lyon se prend des grosses rafales de vent et avec les polens, c'est ce qu'on appelle dans le langage courant (attention les enfants ne répétez pas ça) : un "prends-toi deux kilos de polen dans ta face". Si seulement c'était nourrissant... là c'est surtout over-chiant.
Note bien, lecteur avisé, sur la troisième photo, le marteau à côté de Marian, notre chef-chef. C'est au cas où notre moyenne baisserait, le chef-chef a des arguments à faire valoir...
Je file, mon prochain relais est dans moins d'une heure!
Le temps est toujours aussi bon mais Lyon se prend des grosses rafales de vent et avec les polens, c'est ce qu'on appelle dans le langage courant (attention les enfants ne répétez pas ça) : un "prends-toi deux kilos de polen dans ta face". Si seulement c'était nourrissant... là c'est surtout over-chiant.
Note bien, lecteur avisé, sur la troisième photo, le marteau à côté de Marian, notre chef-chef. C'est au cas où notre moyenne baisserait, le chef-chef a des arguments à faire valoir...
Je file, mon prochain relais est dans moins d'une heure!
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